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 Les Chroniques Démoniaques.

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Darfool
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MessageSujet: Les Chroniques Démoniaques.   Les Chroniques Démoniaques. Icon_minitimeLun 03 Nov 2008, 01:05

Donc commençons par le commencement, voici mon livre.

Avant de commencer, je vais vous demander quelques petites choses.

En premier lieu de ne pas distribuer a tout va, ni d'imprimer ce qui suivera.
En second lieu, de faire des critiques, bonnes ou mauvaises. Je ne poste mes chapitre que pour m'améliorer.
En troisiemme lieu, faire l'abstraction des fautes (oui, je sait, vos yeux piquent, mais debrouillez vous)


En cas de contradiction avec la première règle, que personne ne fasse de réel critiques, ou que des gens gueules trop au niveau des fautes, je suprimerais purement et simplement tout ce que j'ai poster, et je ne posterais plus.

Je metterais des chapitres suplementaires lorsque j'y penserais, et lorsque le chapitre actuel sera finit a mes yeux.

Chaque post sera un chapitre, ou un chapitre intermediaire, par raison de visibilitée ou de place (certain chapitre, prendrons surement plusieurs pages, (comme le chapitre 13 qui fait 14 pages word...)

Je vais commencer par 3 chapitre.

Le prologue, ou prologue au monde.
Le prologue du héro que l'on suivera, Prologue du boulet de l' apprentis.
Le prologue de véritable centre de l'histoire, Prologue a Griff.



Mon avancée en Chiffres (demandez moi d'autres si vous le souhaitez):

Une bonne 100aine d'heure d"écriture en cours.
Des chapitres entre 2 et 14 pages word.
20 partie (chapitre et chapitres intermediaire+prologue).
820 octets de fichier texte bruts.
Au moins trois blagues pourrites.
Deux mort de personnages important.
Une vente d'esclaves.
Deux chanssons.
8 avancée en chiffres proposée.


Dernière édition par Darfool le Lun 03 Nov 2008, 01:12, édité 1 fois
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Darfool
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MessageSujet: Re: Les Chroniques Démoniaques.   Les Chroniques Démoniaques. Icon_minitimeLun 03 Nov 2008, 01:06

Prologue au Monde:

Je vais vous raconter un histoire….une histoire encrée dans notre monde….une histoire connue de beaucoup, comme de peu. La version que je vais vous raconter, est l’original, non un des contes que l’on chante aux enfants. Commençons.

Il y a un millénaire, vivait un mage, qui vivait dans un petit laboratoire, a l’étage d’une boutique d’un herboriste. Ce mage cherchait de nouvelles applications aux deux magies qu’il contrôlait. Le druidisme, qui consiste en un don, ou une prise d’énergie, de pensée, d’un être vivant as un autre, et la démonologie, qui contrairement a son nom n’est pas l’étude des démons, mais l’art de crée un lien, entre deux personnes, entre deux chose, ce lien peut tirer, repousser sur de longue distances comme sur de courtes. La démonologie peut donc être utilisée avec le druidisme pour la lecture de pensée, le vol de vie, mais le niveau de concentration demander est tel, que toute personne ayant essayé ces procéder sont mort, ou devenu fou.

Notre mage, appeler Darsios cherchait donc de nouvelle utilisation a ses pouvoirs. Il s’ intéressait tout particulièrement aux Plans. Seul 3 sont connu, et un est supposée peuvent être l’ origine de toutes les question, et leur réponses. Dans les 3 connus, il y a celui des démons, des âmes puissantes, possédant des pouvoir inimaginables. Il y a le plan dit du monde, la ou la vie prend son cours, la ou notre mage réside, et enfin, le plan des mort, la ou l’ âme, l’ esprit se rendent une fois terminer leur passage sur le Monde. Et, le plan supposée, inconnu, qui semble être le lieu originel de l’ âme et de l’ esprit, mais ce ne sont que des suppositions.

Darsios invoquait grâce aux lien, des démons mineur du plan démoniaque. Des démons, des anciennes personnes vivant sur le monde, qui avait réussit, a changé de plan. Grâce à eux, ils obtinrent des nom de démons, et écrit un ouvrage qui les répertoriaient.

Un jour, il ne réussit pas une de ses invocation. Le mage décida donc de se reposer, et de réessayer plus tard. Lors de sa tentative suivante, il prit une position moins solennelle, et posa sa main sur un arbuste qui se trouvait face à la porte de son laboratoire. Cette fois ci, l’ invocation aboutie, le démon apparut dans le cercle tracer à la craie, a la cendre, et aux autres artifices complexes de sécurité. Lorsqu’il eut finit ses notes, il renvoya le démon. Il s’ adossa contre son arbuste, qui, cassa. Ce fut la surprise, car, cet arbre lui servait toujours pour s’ adosser, depuis des année, c’ était un cadeau de l’ herboriste juste en bas, un jours ou le mage avait fait repartire un de ses plan d’ herbes rares.

Le magicien réfléchit. Comment cet arbre avait put mourir si vite… Sa réflexion ne dura point. Sans le savoir, il avait utilisé l’ énergie de la plante, pour l’ invocation du démon. A partir de cette découverte, il changea de lieu de recherche, il s’ installa à la périphérie de la ville, près d’ une petite forêt.

Peu as peu, il invoqua des démons de plus en plus puissant, pour avoir des information plus importante. Certain démon demandait en échange un peu de liberté, certes contrôlée, mais revoir la terre qu’ils avaient foulé. Le mage se plia à leurs volontés.

Ses recherches continuaient, il recensait toujours les nom des démons. Lors de son travail, il envoyait souvent des êtres mineurs aller lui chercher de quoi faire ses cercles, ou même de quoi manger. Mais, ce jours la, sa vie bascula par une découverte importante. Il savait que l’ on pouvait enfermer un démon dans un objet, pour utiliser une partie de son pouvoir, mais ce qui suivit lui apprit bien plus.
Lors de l’ invocation, d’un démon volant, stupide, juste bon a chercher des pierre de craie, une sourie pénétra dans le cercle, au moment de l’ invocation. Le mage ne la vit point, et le démon n’ apparut pas. Pour éviter d’ avoir à ré-invoquer un autre démon, il alla chercher ses craie lui-même. Quelle ne fut sa surprise lorsqu’il découvrit, une sourie, volant avec une petite paire d’ aile, et possédant une minuscule corne au bout de la queue ! Il se jeta sur le rongeur et le captura, puis l’ enferma dans une cage.
Il interrogea la sourie, et apprit que le démon avait prit possession du rongeur. Vu les modification physique de l’ animal, le mage entreprit de nouvelles recherche, le moyen de prendre possession des pouvoirs des démon. Son esprit, qu’il considérait fort, devait pouvoir prendre le contrôle d’ un des démon. Il commença des test animal.

A partir de ce moment, on peu considérer que la décadence de ce mage avait commencé, as débuter sur des recherche d’intérêt publique, il ne se soucia que de son propre insert, de son propre pouvoir.

Ses recherches ont prouvé deux chose en premier lieu. Le corps s’ adapte à l’ âme qui s’ y introduit, de trois façon différentes. La première, est de se briser, comme quelque chose de fragile, la deuxième est de résister, la troisième est de gonfler, ou s’ adapter, comma la sourie qui possédait des ailes. Deux des trois adaptation pouvaient se mêler. La deuxième découverte fut que le démon, ré-invoquer après la mort de son hôte, était plus puissant, même s’il était mort, il retournait dans son plan. Cela conférait donc, une certaine immortalité.

Il commença des test avec des animaux, d’après lui, certain animaux possédaient des esprit plus fort, donc peu être une chance de contrôler le démon. Pour cela, il choisit les démon les plus faible, possédant juste la parole. Il choisit d’ embler un chat. Des animaux solitaires, puissant et intelligent pour leur taille. Il adopta donc un chaton, et l’ éleva, pour être sur, lors de son changement, qu’il parle au chat et non au démon. Il décida d’ attendre l’age de sevrage de félin, un savoir qu’il tenait d’un elfe.

L’attente finie, il plaça son chat dans le cercle d’invocation, et choisit dans un de ses ouvrages, un démon mineur, le plus faible possible. La cérémonie commença. Au lieu de placer le lien entre le démon et le cercle, et le cercle et lui-même, il lia le démon avec l’ animal, et l’ animal avec le cercle. L’invocation commença. Comme dans les essais précédant, aucun démon apparut. Darsios prit l’ animal dans ses bras, et demanda doucement, si le chat était toujours celui qu’il connaissait. Une vois grinçante lui répondit. Son chat était toujours la, il avait prit le contrôle du démon.

Le mage prit son chat, ses écrit, et partit de la ville. Il avait un plan. Il avait le nom d’un Ancien Démon, un des démon originel. Vu la puissance de l’ esprit du magicien, il le contrôlerait facilement….quelle grave erreur…

Ce cycle recommençait… la même erreur ?
Ce cycle débute à nouveau… quelle raison ?
Ce cycle répondra t’il a toutes les questions ?



Dans une ancienne foret elfique, qui, vidée de ses occupant lors des guerres naine-elfique, il s’installa. Cette foret, gardait une partie des pouvoirs laissez par les elfes dans les bois. Il trouva un grand chêne, et décida de s’installer sous cet arbre. Autre invocation de serviteurs démoniaque, qui, commencèrent à creusé sous le bois. Grâce à la proximité avec les racine du nouveau laboratoire, pomper l’énergie utile a l’invocation sera plus aisée.

Siusialfool était le démon qu’il avait choisit. Le cercle sera long a dessiné. Chaque branche du cercle sera relier as un arbre de la foret pour pouvoir alimenter l’invocation. De cette manière, même si l’invocation prend beaucoup d’énergie, cela ne ce verra pas, car, elle sera prise en infime quantité sur chaque vie du bois. Il ne fis pas que de dessiner le cercle, il le grava dans la roche qui servait de sol dans son laboratoire. Plus d’un mois fut nécessaire à finir la gravure.

Le chat, tranquillement allonger sur une des racine du grand arbre, regardait paisiblement la scène. Il avait, grâce au mage, obtenu la parole, et une vie quasi-éternel. L’animal, de par sa récente expérience, connaissait des secret cacher au commun des mortel, mais, par pur plaisir, il laissa son mage, faire la plus grosse erreur depuis bien longtemps, réveiller un Ancien. L’homme qui ne connaissait rien allait toucher de terribles forces endormies par ennuies depuis bien longtemps… L’invocation commença, l’animal partit, pour observer de loin, ce qui allait peut-être mettre fin a une époque.

Darsios arriva, et dans sa toge blanche, immaculée vérifia une dernière fois ses gravures. Puis il commença. Un seul et unique lien fut envoyer dans le Plan démoniaque, avec le nom du démon, il réussit à le trouver, il tata avec son lien, l’âme était comme en sommeil. D’ après lui, cela saura d’autant plus facile… La cérémonie commença, avec le lien, il tira mentalement d’un coup sec le démon dans le monde, trop avide de pouvoir pour prendre la moindre précaution.

Une onde de choc absorba toute vie dans la forêt. Tout fut anéantis. La puissance fut sentie jusque dans un monastère, d’une nouvelle religion qui venait de naître. Tout les moines tournèrent leur vision dans la direction de l’onde. Seul l’abbé du lieu comprit. Un humain avait fait l’erreur, et, il ne savait que faire face à la puissance qui allait être libérée.

Le mage jubilait, il sentait son sort réussir. Mais, d’un coup, il sentis comme un intrusion dans son âme, son sanctuaire. Une sensation de colère l’envahit, mais, elle ne venait pas de lui. Darsios se sentait minuscule, un grain de sable face à l’immensité du désert.

Premier réflexe de l’âme, tenter de séparer l’esprit, de l’âme qu’il avait reveiller, mais ce fut peine perdue. Son erreur le rongeait, il comprit sa folie, ce qu’il avait fait. Que deviendrais son monde à cause de lui ?

Soudain, le démon tourna son attention vers le mage, l’être minuscule qui avait oser l’invoquer. Il n’avait que faire de ce petit bout d’âme, mais, il avait à le punir, pour l’avoir réveiller, de lui avoir fait redémarrer son éternel ennui, qu’il avait réussit à oublier, dans le sommeil. Lentement, il entreprit de détruire le mage.

Un chat, observait une âme, se faire lentement détruire par une autre, une poussière, face à une montagne.

Deuxième réflexe de l’âme, expulser l’hôte indésirable, enfin, troisième réflexe tenter, de le détruire… Mais que peut faire une force si faible, contre une si puissante ? Les trois réflexes de l’âme épuisés…seul l’esprit peu sauver le mage. Il va tenter de limiter les dégâts, en sacrifiant son soi même. Avec son esprit, il monopolisa toute sa puissance, pour crée une minuscule trou dans la défense du démon. L’esprit s’y engouffra, et ils fusionnèrent partiellement.

Un vieil abbé, et un chat retenaient leur souffle, l’action désespérée de l’homme, avais probablement sauver beaucoup de choses connue par les deux vie.

Le corps se déforma, comme un récipient trop plein, certaines parties éclataient, d’autre endroit, se déformaient…. Tant bien que mal la nouvelle entité se dirigea vers le lien qui l’observait, vers l’abbé. Une traînée d’ombre suivait le corps difforme, qui continuait de grandire, et, tant bien que mal, il arriva au monastère. L’abbé et quelques-uns un de ses disciples, scellèrent le démon, pour essayer de sauver le mage fou. Ils ne firent que de les mêler plus puissamment.

Une grande décision pesait sur les épaules de l’abbé. Soit, il devait sacrifier sa propre vie, et celle de son ordre, pour sauver ce qu’il connaissait, soit, il laissait, cette monstruosité s’échapper. Avec ses plus proches adeptes, le vieillard monta un plan. Commencer par fractionner l’âme, en faisant des martyrs avec les plus vieux, puis, les enfermer, dans des lieu et objet, en attendant qu’une prophétie qu’ils netterraient en place s’accomplisse.

Une âme fut enfermée dans le temple, au milieu du désert, proteger par de puissant sortilèges. Une autre fraction de l’âme fut confier aux nain et au elfes. La dernière, fut enfermée dans une pierre, qui se fit reduire en morceaux, et enfermer dans la terre elle même.

Un prophète et son oracle fut appeler. La prophetie fut dictée. Dans près de 1000 ans, un enfant naîtra, et réunira les fragment. Un autre, naîtra, et détruira ceux ci.

Enfin, l’abbé et ses proches, se suicidèrent pour bannir les deux magies qui avaient tant causé de mal. Le Druidisme et la Démonologie furent bannies des esprit mortel. Deux magies furent perdue, a jamais.

Des deux seuls survivant du monastère, ceux ci durent crée chacun une lignée, celle qui devra réunir les fragments, et celle qui devra les détruire. Les un prirent le titre de Druide, l’autre de Dmenos, en inversant les lettre de démon, pour éviter que le peuple détruisent la famille avant qu’il ait terminé leur mission.

Mais….la magie prophétique ne possède pas de dimension temporel, elle peu agire avant, ou après la date prévue…..
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MessageSujet: Re: Les Chroniques Démoniaques.   Les Chroniques Démoniaques. Icon_minitimeLun 03 Nov 2008, 01:07

Chapitre premier : Prologue de l’apprentis
Il pleuvait ce jour la.. La pluie battait sur les tuiles en argile. Turiam tentait de trouver un abri. Ce jeune homme venu de la campagne, venait d’arriver en ville pour devenir ménestrel. Mais pour le moment, il cherchait une taverne ou il pourrait entrer sans étouffer. Apres avoir fait le tour de la ville sous la pluie, d’avoir quitter nombres lieu surpeuplé, il trouva enfin un lieu, ou il n’y avait que très peu de monde. Tremper, il entra dans ce lieu. Il y avait une vingtaine de personnes présente. Quelques nain, dans un coin, se disputant sur le part que chacun devra payer au tavernier, des hommes ivres dont un qui était écroulé sur le bar. Il y avait même un elfe tout vêtu de noir, en train de discuter avec un très grand homme.

Turiam regarda attentivement l’homme. Il possédait de longs cheveux blancs, qui lui cachait l’œil gauche, le droit, était blanc-argenter, seul la pupille ressortait vraiment de ce fond. Ses habits, qui couvrait et bloquait son bras gauche, constituer d’un patchwork de toutes les couleurs éclairant son visage. Il portait une ceinture, où pendait de nombreuses fioles de toute taille, et dessinais la garde d’une arme courte. Cela ne faisait aucun doute, cet homme était un véritable ménestrel. Le jeune homme luttait contre l’envie de poser des questions a cet homme. Néanmoins, il s’approcha de lui et s’assit à la table le plus proche. Le ménestrel le regarda d’un air amuser, se leva, et s’assit à la même table que le jeune homme.

« -Alors, vous vous intéressez aux ménestrels jeune homme ?
-Comment vous ?…
-Très simple. Votre regard me suit depuis votre entrée dans ce lieu. C’est très simple pour une personne habituée a écouté, voir tout ce qui se passe autour d’elle, de savoir qui s’intéresse à elle-même.
Turiam rougis. Il était aussi discret qu’un nain ivre dans une taverne elfique…
- Et bien je… j’aimerais devenir ménestrel et…
- Tu aimerais avoir quelques conseil, non ?
Ce passage au tutoiement combiné à la façon dont le ménestrel lisait dans l’esprit du jeune homme le perturbait, mais il se reprit.
- Je vais simplement te conter une histoire. L’histoire de Griff.
- Griff ?
L’homme émécher au bar prit soudain la parole.
- La ferme ! On tente de se soûler tranquil’ment ici. Et j’ai déjà entendu cette histoire. Donc non. Pas ct’ histoire. Non. Sinon je …

Un bruit sourd retentit. La tête de l’homme tombât lourdement dans sa chopine. Turiam se tourna vers le ménestrel, debout, son bras libre tendu, une expression d’une intense satisfaction peint au visage. Sa propre chope avait disparut. Un éclair d’applaudissement retentit. Même les quatre nains dans le coin de la pièce étaient lever. Cela n’était sûrement pas la première fois que cet exploit arrivait. Le géant fit un geste, et toute la taverne se leva, et s’approcha de lui. Il fit un signe au jeune homme assit en face de lui-même d’aller s’asseoir sur le sol, devant la table. Dans un coin, le tavernier se frottait les mains. Il savait que la consommation augmentait lorsqu’un ménestrel contait une histoire. Tout le monde était donc en arc de cercle autour de la table ou était assit le ménestrel ; hormis l’homme inconscient dans sa bière, le tavernier, sa fille et l’elfe qui avait remis son capuchon noir sur sa tête.

Le silence était devenu roi dans la salle, tout le monde attendait que le ménestrel commence son histoire, mais avant, dans une tasse d’eau chaude que le tavernier lui avait apporter, il déversa quelques herbes. Après un moment qui paraissait interminable pour tout le monde, il but le mélange, et un imperceptible mouvement de son bras droit se fit entendre par un craquement osseux très léger, qui fit frissonner toute l’assistance. Enfin, il commença, avec un ton de nostalgie dans sa voix :

-Griff…
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MessageSujet: Re: Les Chroniques Démoniaques.   Les Chroniques Démoniaques. Icon_minitimeLun 03 Nov 2008, 01:07

Chapitre intermediaire premier :
Prologue de Griff

L’histoire se passe sur un autre continent, très loin d’ici. Dans un village a flan de montagne, vivait un couple. Depuis quelques années ils ont pensé avoir un enfant. Puis un beau jour, la femme tomba enceinte.
Lors de la naissance de l’enfant, tout le village était présent. La vielle femme qui servait de sage-femme, avait aussi les fonctions d’une sorte de sorcière. Lorsqu’elle prit l’enfant dans les bras, elle poussa un cri…puis elle s’enfuie dans sa petite maison, et s’y barricada plusieurs jours. Lorsqu’elle ressortit, elle alla voir les deux parents. Elle leur fit une horrible prédiction sur l’enfant. Cet enfant était maudit. Elle l’avait vu, détruire le village, et tuer père et mère.
Le village fut très vite au courant. Le cercle des anciens du village se réunit, et délibéra sur le sort du nouveau-né. L’enfant devra être tuer. Son père devra l’emmener dans la montagne, et le tuer, puis jeter son cadavre aux félins qui peuplaient la montagne.
Le sort en était jeter. Le père prit le fils, l’emmena avec lui dans la montagne. Il s’arrêta dans une clairière, déposa l’enfant sur le sol. Au moment ou il devait le tuer, il ne pu finir son geste. Il abandonna donc l’enfant, enrober dans des couvertures, au milieu de la clairière. L’homme rentra chez lui, tête basse, et déclara avoir mis à terme a la vie de son fils. Le couple était en deuil.
Un homme vivait reclus dans les montagnes, un vieux soldat qui s’était exiler suite a la guerre qui avait décimé sa famille. Il vit le petit corps au milieu de la clairière. Il passa simplement son chemin. Pourquoi s’encombrer avec un nourrisson ? Il était devenu un ermite, un homme sans attaches, il ne devait plus penser à ses congénères… Puis, une meute des grands félins qui peuplait les environs débarquèrent. Cela en était finit pour l’enfant. Ces prédateurs, grands puissants, dont les différences physique frappaient.
Chaque félin avait une place dans le groupe. Le chef, un grand male possédant des pattes avant très puissantes, qui lui servait à défendre son clan et son honneur des autres félins. La nourrisse, souvent une vielle femelle, qui pouvait seule, s’occuper de dizaines de petit. Les chasseurs, certains possédaient de très longues canines qui sortaient de leur gueule, d’autres étaient tailler pour la course, mais tous possédaient un pelage similaire, qui se fondait facilement a leur environnement, et qui changeait à chaque saison. Ce que l’on pourrait appeler les gardes, de grand félin fait pour protéger tout le groupe, souvent tailler comme le chef. Chacun avait sa place, savait ce qu’il avait à faire. Même un groupe d’homme adulte armer n’aurait aucune chance.
Le chef s’approcha lentement du petit paquet, le renifla, et contre toute attente sortit sa grande langue et lécha le petit corps. Le fait était surprenant, l’ermite était bouche bée…ces chasseurs, ces prédateurs, tueurs né… Il vit en cela un signe du destin. Il retourna dans sa cabane, et prit son arc, et ses flèches. Il tua un cerf, qu’il traîna dans la foret, près de la clairière pour pouvoir approcher l’enfant. Les félins partirent manger, il prit l’enfant. On ne pouvait abandonner un enfant marquer par le destin.
Le vieil homme prit donc le petit sous son aile. Le vieux soldat avait un tique propre a nombre d’ermites, il parlait de lui a la troisième personne. Durant les premières années de vie du nourrisson, il réussit à trouver du lait sur des chèvres sauvages. La difficulté d’en trouver était très grande, car les animaux vivaient en hauteur dans la montagne, des hauteurs, très difficiles d’accès, et seul les femelles étaient utiles, et de loin, c’est difficile de savoir. Mais, il ne pouvait prendre l’enfant, qui n’avait toujours pas de nom avec lui. Il se résigna donc et partit en expédition sans lui. La peur au ventre, la peur de ce qui pourraient arriver à son protéger, il se dépêcha d’attraper une chèvre, et de la traire. A son retour, quelle fut la surprise de voir sa cabane encercler par les félins, qui, protégeait le bébé. A son arrivée, le chef fit signe aux autres de partire. L’homme put donc nourrir tranquillement l’enfant. Le lendemain, il devra recommencer, mais, il ne s’inquiéterait pas de ce qui pourrait arriver à l’enfant.
Le lendemain justement, au moment de partire chercher du lait dans les montagnes, une surprise l’attendait. Les félins avaient capturé quelques chèvre et un bouc. Le vieil ermite aperçut une lueur dans les fourrés. L’homme s’était fait un allier de poids, dans l’aide du petit enfant. Il passât donc sa journée à construire un enclos. Il ne doutait pas que les chèvres reviendraient toujours avec l’aide des félins, mais, tant qu’il pouvait épargner des besognes a ses nouveaux amis.
Les journées passaient et se ressemblaient toutes, parfois, un félin ramenait les restes de la chasse du groupe, souvent la nourrice. Cela faisait de la viande facile, et souvent des morceaux tendre qui permettait à l’ermite de mâcher sa nourriture sans problème.
Un jour, le chef des félins s’approcha de la maison. Seul. L’ermite sortit, et comprit. Le grand male voulait voir l’enfant. Il prit le petit corps, et l’apportât au félin, qui le renifla, lui fit un grand coup de langue, cette dernière faisait la taille de la tête de l’enfant. Un bruissement dans les fourrée fit sursauter l’homme. Une femelle, et 3 petits sortires, l’un était albinos, ces derniers, chez ces félins, étaient des poids pour les groupes, car ils ne pouvaient pas grandir. Le chef réussit à faire comprendre à l’ermite son envie, habituer l’enfant adopter, avec sa propre chair, et aussi, demander à l’ermite de s’occuper du petit blanc, pour qu’il ne soit pas tuer. Sur ce, l’enfant, fut baptiser Griff, en l’honneur de ces félins, qui étaient devenu sa nouvelle famille.
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MessageSujet: Re: Les Chroniques Démoniaques.   Les Chroniques Démoniaques. Icon_minitimeJeu 08 Jan 2009, 18:54

Chapitre Second.

Le calme était total dans la petite taverne. Turiam buvait les paroles du ménestrel. Une serveuse distribuait des boisons ici et la, le ménestrel se tut.
- Il se fait tard. Je suis désoler mais je doit m’ arrêter ici.
- Merci encore ! fit la voix grave et sonore d’ un des nain.
- A quand la suite ? dit une petite voie fluette qui venait sûrement de la gorge de la serveuse.
Le ménestrel se leva, et se rapprocha de Turiam. Ce dernier était encore en train de sortire de l’ histoire, encore plonger dans ses pensées. Il le secoua légèrement. Le jeune homme le regarda, et se leva d’ un bond, comme si il s’était réveiller en sursaut, par un mauvais rêve.
- Qu…quoi ? balbutia Turiam.
- Tu était « hors » de notre monde… répondit calmement le ménestrel.
- Hors de quoi ?
- Tu rêvassait…
- Ha….désoler. Et si je puis me le permettre, quel est votre nom ?
- La question fatidique. Mon nom. J’ en ai un dans chaque ville. On m’appelle souvent simplement ménestrel. Sinon, le Coloré, et encore beaucoup de sobriquets… Mais appelle moi Marlac. C’ est un nom tiré de l’ histoire de Griff, le nom d’un moine qui l’ as accompagner, mais tu ne l’ as pas encore écouter jusque la.
- Marlac ? Bon, et bien Seigneur Mar…
- Pas de seigneur, le coupa t’ il, ni de tout ces titres avec moi ! A la rigueur, ménestrel, ou bientôt, si tu le souhaite…
- Si je souhaite quoi ?
- Tes pensée sont comme un livre ouvert, je sait que tu veut être mon apprenti. Je suis partant pour être ton maître.
- V…Vraiment ??

Un long sifflement retentit…tel une plainte il se déversa dans la salle. L’ elfe apparut dans la lumière en courant. Quelque chose se passait. Mais quoi ?

- Les garde de Tyr-vilek. Vite partons. Chuchota l’ elfe a l’ oreille de Marlac.
- Déjà ?! Tu sait ce que tu doit faire.
- J’ y vais. Bonne chance.
Un bruit sourd se fit entendre, la porte s’ouvrit a la volée deux garde entrèrent. Il portait de grands vêtement très amples, qui masquaient leur jambes. Des signes complexes était tissée tout le long du tissu. On pouvais très nettement voir de lourdes pièces d’ armures sous la tunique. Un tintement, deux épées de sortie.
- Connaîtriez vous un…
Le ménestrel empoignât Turiam, et le lança a travers la pièce, sur les deux gardes. Le jeune homme eut de la chance, car un des gardes eu l’ intelligence de baiser son épée, et de pousser son collègue. Marlac courait vers la porte, qui avait été lourdement verrouillée par un des soldat de l’ extérieure, a l’ aide d’ une énorme chaîne et de plusieurs planches. A partire de ce moment, tout fut confus. Le ménestrel ne se trouvais plus dans la salle.

Turiam se releva, et au moment ou le garde qui l’ avait réceptionner allait l’ empêcher de partir, il courut vers la fenêtre, et sauta a travers. Un des morceau de verre lui fit une longue coupure sur une joue. Il courut dans la rue, le garde poster a l’ extérieur aux trousses.

Pendant ce temps, l’ elfe regardait les hommes se battre dans la taverne. Il avait simplement dit a un nain qu’ un des garde trouvais sa hache dans un état déplorable. Lorsqu’on sait que chez les nain, les haches sont offertes aux enfant par le plus vieux de leurs ancêtres en vie au moment de leur première bataille, et sachant que la société naine honore continuellement ses ancêtres, le nain le prit naturellement très mal. Une bagarre générale débutât dans la taverne. Les armes n’ étaient pas tirée, mais table, chaises, et bouteilles de spiritueux servait a merveille de remplacement.

Turiam distançait le garde. Il avait un gros avantage, le garde portait une longue robe, et des pièces d’ amure lourde sous celle si, ce qui limitait grandement ses mouvements. Mais, le garde se mit subitement a accélérer d’une manière peu naturelle… il rattrapa Turiam en quelques enjambées. Le jeune homme se sentit agripper, privé en une fraction de seconde de sa vitesse, il s’ écroula. Le garde s’ approche lentement, sortit son épée, et utilisa le pommeau pour assommer le futur ménestrel.
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MessageSujet: Re: Les Chroniques Démoniaques.   Les Chroniques Démoniaques. Icon_minitimeJeu 08 Jan 2009, 18:55

Chapitre trois.

Turiam sortit de son état d’ inconscience. Recouvrant peu a peu la vue, il se rendit conte, de par l’ odeur de bois, et le peu de chose qu’ il pouvais voir, qu’ il se trouvait en foret, et qu’il faisait nuit. Une nuit sans nuages, sans lune et sans étoiles. Il avait les mains liées dans son dos, les pieds fixer solidement a un lourd rondin de bois. Deux personnes proche de lui parlaient, et lui faisaient dos. Un feu était allumé, et le crépitement des flammes couvrait la discutions, la lumière, couvrait leur visage. Soudain, l’ une des deux personnes prit la parole.

-Il est réveiller. Tu peux le tester. Dit d’ un ton neutre, l’ homme, le plus éloigner de Turiam.

Un léger sifflement se fit entendre, et Turiam perdit de nouveau la vue. Il sentit la présence du deuxième homme se rapprocher. Ce dernier empoigna la tête du jeune homme, prononça quelque chose d’ incompréhensible . Un léger nuage gris commença a s’ élever de la peau de Turiam, sa peau le brûlait, il était secouer de spasmes de douleur. La fumée commença a prendre forme, elle se condensa, forma un pentacle complexe, qui changea progressivement de couleur pour passer au noir.

-C’ est bon. il n’ est pas des leurs. Dit l’homme qui était pencher sur Turiam.

Le jeune homme reprit a peu ses sens. Un sifflement se fit entendre, ses liens de desserrèrent et se mire a avancer comme des serpents sur le sol, pour aller se loger dans la bourse de l’ homme qui l’ avait sûrement attacher. Il examina les deux homme. Quel ne fut pas sa surprise lorsqu’il s’ aperçut que le ménestrel et l’ elfe en noir qu’ il avait rencontrer était les deux mystérieux hommes !

-Tout cela nécessite une explication. Dit neutrement Turiam, non sans une touche d’énervement.
-Nous ne savions pas si tu était des leurs, donc nous avons dut t’ attacher, et le sort qui nous permet de savoir si tu étais avec eux ne fonctionne que si le sujet est conscient. Répondit le ménestrel.

L’ elfe se tenait a part de la discutions, il était adosser contre un arbre, et regardait tranquillement monter la colère d’ un des deux enfant, face a son age, qui dépassait amplement chacune de leur existence
-Avec qui ? ces gardes ? Ils m’ ont assommer ! Et que c’ est t’ il passer durant mon inconscience ? Répondez ! Reprit avec colère Turiam.
-Oui nous pensions que tu aurais pu être avec eux.
-Es que je possède une tête de barbares sans cervelle ?
-Premièrement, ces hommes ne sont pas stupide, et ensuite, si tu savait quelles personnes il peuvent enrôler pour arriver a leurs fins…
-Passons. Pourriez vous m’ expliquer au moins ce qu’ il s’ est passer ?
-Il t’ on abandonner dans une cuve d’ appâts ; qui avaient du faire leur temps.

Turiam se rendit conte de l’ affreuse odeur qui le poursuivait. Un léger sourire apparut sur le visage de Marlac… Puis, les deux hommes éclatèrent de rire. La tension disparut comme elle était venue, instantanément. Même l’ elfe esquissait un léger sourire.

-Donc vous m’ avez « repêcher » ?
-Il y avais de quoi en tout cas, près de toi.

Un autre éclat de rire, puis Turiam prit un air plus grave.

-Pourquoi êtes vous poursuivit ? demanda t’il .
-Je ne puis te le dire maintenant. Mais si tu as d’ autres questions…

-Quelle était la chose que votre ami m’ as faite ?
-Un simple sort pour savoir si vous étiez avec eux. En fait, c’ est un des sort qu’il ont crée pour s’assurer qu’une personne était marquée par un de leurs signes, mais, nous avons découvert ce sors, qui nous sert maintenant a luter contre eux, alors qu’ il servait a la base a trouver d’ éventuels espions dans leurs rangs. En somme un retournement de situation.

Turiam avait du mal a tout assimiler, il décida donc de changer de sujet .

-Quel est le nom de votre ami ?

Un éclat de rire se fit percevoir, l’ elfe riait a gorge déployée, Marlac riait tout autant.

-Mais…quoi ? pourquoi riez vous ? demanda Turiam, un peu gêner par cette situation.
-C’ est… Simplement que… il t’ expliquera… tenta de répondre Marlac entre deux rires.

L’ elfe s’ approcha, et s’ accroupis près de Turiam, tout en posant quelques baies a coter du jeune homme.

-Mon nom est en elfique. Dit t’il simplement.
-Et ? que cela change t’il ? vous possédez bien un nom ?

Marlac se calma, reprit son calme, et prit la parole.

-Je vais t’ explique une chose. L’ elfique possède deux grandes familles de parole. Le langage commun, celui de chant et de magie. Le premier est le même que le deuxième, mais il est extrêmement rapide, on dirait même, que les elfes sifflent. Un sont mélodieux mais…qui peu vouloir dire beaucoup.
-Dire beaucoup ?
-Les elfes possèdent une ouie plus fines, il peuvent donc décomposer plus facilement les sons. Pour reformer le langage de chant. Par exemple, Notre amis l’ elfe s’ appelle…

Un long sifflement se fit entendre. L’ elfe avait finit la phrase de Marlac, qui était incapable de la faire seul.

-Voilà son nom commun. Son nom en chant il me l’ as dit un jour. Le soleil qui était au zénith as eu le temps de se coucher…et nous n’ avions pas manger entre les deux.

Turiam était interloquer, il ne savait que dire, que faire, un langage si long, et pourtant, si beau…

-Mais alors si leur langage est si rapide, pourquoi ne pas l’ utiliser pour tout ?
-Car leurs chants ne durerait qu’une seconde, et leurs sort ne ferait pas d’ effet ou très peu. imagine toi, crée un chant pendant des heures, qui ne dure qu’une seconde ? Le langage lent sert aussi pour commercer avec les non-elfe. Je connaît un peu de ce langage, et quelques ordre en sifflement. Que je ne puis malheuresement reproduire.
Turiam comprit pourquoi il avaient rit . Il riait ce qu’il aurais pu faire, lui faire passer la nuit a écouter un nom dont il ne se souviendrais jamais et qu’ il ne saurais jamais prononcer.

-Mais je ne peu vous appeler « elfe » plus longtemps, ne puis-je pas trouver autre chose ?
-Dit moi ce que tu pense, et je te répondrais. Dit l’ elfe.
-Que diriez vous de…Tsial ?
-Je ne puis refuser, mais que veut dire ce mot ? tu ne peu avoir crée un nom rien que pour moi. Tu as forcement chercher un mot précis dans ta mémoire.

-Tsial était un guerrier elfe d’ un vielle histoire, celle qui m’ as pousser a venir dans cette ville. Ce guerrier, avait aider un petit homme dans une quête, puis avait disparut mystérieusement. Ce coter m’ as parut très bien vous aller.

Les deux amis se regarder, Turiam fut comme mis a part. Puis le nouveau-nommer Tsial se leva, et s’ assit loin dans l’ ombre d’ un arbre, a l’ abri des morsures des flammes.

-Il est tant que je continue mon histoire ,Turiam, je vais reprendre la ou je me suis arrêter dans la taverne . Installe toi, je vais boire un peu, et nous pourrons commencer.

Turiam se fit un petit tapis de feuilles, et s’ allongea se servant de son sac comme d’ un coussin. Marlac prit de l’eau dans sa gourde, la fit bouillir sur le feu, y rajouta une pincée de ses mystérieuses herbes, et commença.
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MessageSujet: Re: Les Chroniques Démoniaques.   Les Chroniques Démoniaques. Icon_minitimeJeu 08 Jan 2009, 18:56

Griff avait donc été nommé. L’ ermite lui apprit tout ce qu’il devait savoir, ou plus simplement tout ce qu’ il se rappelait lui même. Il commença donc par lui apprendre a parler. Une chose, qu’il n’ avait fait depuis des lustres. Il avait l’ habitude de se parler, donc de parler de lui a la troisième personne. Cette forme spéciale de langage fut donc enseigner a l’ enfant. Une fois que l’ enfant sut parler, l’ ermite lui apprit les rudiment de la médecine, les chirurgies simples, les pansements, les onguents… Et lorsque l’ enfant vit passer 7 cycle de saison, il laissa sa « famille » d’ adoption prendre un peu soin de lui.
Les félins lui apprirent a chasser, a reconnaître des plantes qu’eux seul connaissaient l’ existence. Il lui apprirent aussi, indirectement, a savoir comprendre les animaux. Et aussi, a savoir se faire comprendre. Avec eux, il apprit la patience lors de la chasse, la discrétion, et des méthodes de chasses peu humaines, mais tout aussi, voir plus efficace.
Puis, lorsque Griff eut vu passer 10 saison, en tout et pour tout l’ ermite partit. Griff se retrouva seul. Les félin avaient temporairement changer de lieu, car en cette saison, la nourriture se faisait plus rare. Griff se débrouilla donc seul. Il chassa avec les méthodes des félins, se soigna avec les enseignement de l’ ermite. Il vivait avec les enseignement de ses amis, de ses parents.
Mais, un jour, un homme d’ un village au flan de montagne vin se perdre dans la forêt. Griff en avait peur. Il ne savait pas qu’il existait d’ autres personnes comme L’ ermite, il se mis donc a le suivre. Passant d’ arbre en arbre, de fourré en fossé, le pistant tel le chasseur qui veut épuiser sa proie. L’homme ne se doutait de rien. Il lâcha un juron lorsqu’il trébucha sur une racine, et commença se parler, pour se réconforter. En entendant cela, Griff s’ approcha, moins craintif. Il aida l’ homme, lui parla, le soigna, et l’ aida a sortir de la forêt.
L’homme proposa a Griff de vivre dans le village, il pourrais facilement s’y intégrer, malgré son langage parfois difficile a comprendre. L’enfant ne répondit point. Observer puis décider, une leçon du chef des félin. La petite bourgade fut rapidement en vue, le compagnon repartit chez lui. Griff observa quelque temps le village, les champs, la vie des Hommes[][][][]
Quelques jours plus tard, l’ ermite revin. Il portait avec lui un grand sac, très volumineux et visiblement très lourd. Il appela son protéger. Une autre leçon de la vie attendait Griff. Il allait apprendre a se battre, battre avec les méthodes des hommes.
L’ entraînement commença, l’ ermite ouvrit le sac, qui contenait deux exemplaire de nombres d’ armes. Le vieux soldat retrouva vite ses réflexes, apprit a Griff, le maniement des armes courtes, pour commencer, dagues, couteaux, épée courtes… Mais l’ enfant n’ arrivait a rien de bien. Il ne savait que faire, il resservait les armes lourdes pour plus tard, lorsque l’ enfant aurais plus de force. Il devrait donc attendre.
Un jours, lorsque Griff s’ occupait tranquillement a sauter de rocher en rocher au bord de la rivière qui passait au beau milieu de la forêt, sous l’ œil attentif de l’ ermite, une chose incroyable se passât. Griff chuta d’ un roche qui ne tenait pas en place. Le roche , desceller roula sur l’ enfant. Ce dernier se retrouva la tête sous l’ eau. L’ ermite accourut, une pierre énorme juchait sur le corps de l’ enfant. Il ne réussit pas a la dégager… Il commença a paniquer, il allait perdre son protéger… Le rocher se mis a osciller…doucement…l’ ermite se mis a pousser de plus belle, l’ énorme pierre roula sur le coter. Il ne comprit pas tout de suite ce qu’il se passait mais Griff était sain et sauf.
L’ ermite réfléchit a cet incident. Que c’ est t’ il passer ? Il ne pouvais bouger le rocher seul. L’ enfant aurais t’ il plus de force que son corps pouvais contenir ? Il fallait le tester.
Il appela Griff. Ils se mirent face a face assit sur une chaise, leur table au milieu. Il firent un bras de fer. L’ ermite qui pourtant possédait une grande force, dut lutter pour battre son protéger. Griff était en fait, prêt pour les armes plus lourdes !
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MessageSujet: Re: Les Chroniques Démoniaques.   Les Chroniques Démoniaques. Icon_minitimeJeu 08 Jan 2009, 19:07

Chapitre 4

Turiam s’était endormis. Il avait beau avoir luter contre la faiblesse humaine, il ne put résister à l’appel du sommeil. Ses rêves étaient agiter, de mauvais pressentiments tissaient ses cauchemars. Il se réveilla, en sueur. Lorsqu’il se releva, il s’aperçut qu’il se trouvait dans une charrette. Où étaient donc ses deux mystérieux compagnons ? Il aperçut Tsial aux commandes de la charrette. Turiam débuta la conversation :
-Bonjour Tsial. Où sommes-nous ? Que ?
-Silence. Tu t’appelle désormais Inol. Celui que tu appelle Marlac garde son nom, et celui que …tu m’as offert, reste inchangé.
-Quel rôle vais-je devoir jouer ? Demanda Turiam, perplexe.
-Tu es un de mes esclaves. Je suis connu dans cette ville comme esclavagiste. Tu seras vendu au maire de cette ville, au loin.

Turiam regarda attentivement, et vu une ville au loin, reporta ses yeux dans la charrette et vu des cordelettes proches de lui. Il décida donc de s’attacher lui-même, pour que l’histoire tienne mieux la route.

-Bien. Tu comprends vite. On a besoin…de s’introduire à la maison du maire, mais il ne peu pas supporter Marlac. Donc, on va se servire de toi…comme d’un laissez-passer. Je t’ai vu courir poursuivit par ce garde. Tu seras vendu comme messager. Et sachant que tu es aussi, un apprenti ménestrel, ta valeur va toucher le maire. Je vois à ta tête que tu ne sais probablement pas comment nous l’avons contacté. Simplement un pigeon. Un pigeon dresser, pour répondre à ta future question.

Turiam se sentit comme un livre dont on connaissait déjà la fin. Tsial pouvaient lire en lui, et prévoir ce qu’il allait dire. Le jeune homme se souvins que le langage humain, pour un elfe, ne devait poser aucun problème.
La charrette avançait tranquillement. Turiam regardait fixement la ville. Puis, voulut regarder derrière lui. Il Hurla.
Des brigands étaient en train d’approcher à vive allure, ils étaient sept, ou huit, a première vue. Turiam défit son lien, et lorsqu’il se retourna pour prévenir L’elfe, il vis une épée courte posée dans un coins de la charrette. Il s en saisit, et s’aperçut que Tsial était déjà en train de se battre. Il le regeoin. Avec ses maigres tallent d’épéiste il reçut dès le début de la bataille une lame au travers du bras.
Turiam n’avais pas l’habitude d’une telle douleur. Il poussa un terrible cri… Deux bandits tombèrent, un autre distrait par ce cri, se fit simplement assommer par Tsial.
Du sang sortait des oreilles d’un des brigands qui gisait sur le sol. Deux des camarades des malheureux prirent la fuite. Les deux restants rendirent les armes, trop blesser pour s’enfuir.

-D’où tire-tu cette voix ? Demanda Tsial.
-Je …ne s…sait pas… J’ ai eu mal…j’ai…s…sim….simplement exprimer ma douleur…
-Avec cette voix et de l’entraînement. Tu pourras probablement parler l’elfe. Le courant. Non le sifflé.

Une voix qui émanait de derrière un arbre prit la parole.

-Je dirais même que cette voix est une arme. Il est né pour être un ménestrel. Par contre, avant de la dompter…dit cette voix. J’en ai encore mal au oreilles.

Marlac sortis de derrière l’arbre, traitant les deux bandits qui avaient tenter de fuir.

-Cela fera toujours des esclaves de plus. Et un peu d’argent de plus, pour la suite.
-Marlac ! Où étiez vous ! Demanda Turiam.
-Pas très loin. Simplement cacher. Je ne puis approcher cette ville de trop pries. Tsial as dut t’expliquer ton rôle. Mais avant…
Marlac regarda Tsial, fit un signe de main, et pointa du doigt Turiam. L’elfe hocha la tête, et regarda le jeune homme.
-Désoler humain. Ta voix est trop dangereuse. Tu ne la maîtrise pas encore. Tu te réveillera aphone, entre les mains du maire.

Turiam sentit un choc, il ne pouvait plus parler. Puis, il entendit la voix de l’elfe, chuchoter, doucement…

-Quilna ni sulsa, hiol siolsa vioma, ois jalnia siék. Que tout ces souvenirs, de toutes pièces crée, soit désormais tien. Souviens-toi de ces paroles, répète les au maire, lorsque vous serez seul, dans une pièce sans fenêtres. Que tu auras préalablement verrouillé, bien entendu.

Suite a ces paroles, Turiam sombra dans l’inconscience.

Quelques chapitres cours, la suite sera plus longue, et j'en posterais une partie demains. Et oubliez pas vos critiques positives ou non!
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MessageSujet: Re: Les Chroniques Démoniaques.   Les Chroniques Démoniaques. Icon_minitimeVen 09 Jan 2009, 11:09

Chapitre 5
Une salle sombre, humide. Turiam se retrouvaient une fois de plus attacher. Depuis peu, que cela vienne de sa propre volonté ou de celle d’autrui, il se retrouvait souvent pieds et poing liée. Il se souvenait de quelque chose…quelque chose de…nouveau…Il se souvenait particulièrement bien d’un chant. D’un chant, elfique. De souvenirs dans une petite ville dans l’Est. Il avait une nouvelle enfance. Il la savait fausse, mais elle était tout de même présente.
Peu a peu, le brouillard qui embrumait son esprit s’éclaircit. Avec ces souvenirs, il devenait Inol, l’Esclave Messager Chanteur. Il essayait de parler a voix haute. Sa gorge n’émis qu’un long soupir. Puis, essaya de chanter la chanson elfique. A sa grande stupéfaction, il savait la prononciation, comme s’il l’avait chanter des dizaines de centaines de fois.
Il était un aphone chanteur. Le seul messager qui peu vous transporter avec sa voix, transporter les messages avec ses jambes, et transporter vos secrets avec son aphonie.
Seul l’ elfique voulais bien sortire de sa bouche. Pour attirer l’intention, il se mis à chanté. Il ne savait pas pourquoi, mais cette chanson raisonnais tristement. Il ne savait ce qu’elle voulait dire, mais, il voulait presque en pleurer.
Soudain, une pensée l’envahit. Pouvais t’il vraiment faire confiance a Marlac et Tsial ? N’était t’il pas un jouet entre leur main ? Il avait pour le moment fait tout ce qu’ils demandaient, sans poser de question.
Lorsque cette pensée effleura le reste de son conscient, il ne pus continuer sur cette voie, il ne savait pas pourquoi, mais il avait totalement confiance en Marlac.

Turiam décida d’observer sa prison. Il se trouvait en fait sur un petit lit de paille. Il était totalement entourer de murs de pierre, avec comme seul source de lumière, et sûrement d’entrée, un soupirail.

Des pas approchaient. Dépassèrent le soupirail, puis revenère devant.

-Esclave Inol. Approche-toi du soupirail. Je vais te sortire de la. Le maître veut te voir. Dépêche-toi. Islas z’ slos Marlac ?
-Dié z’ slos djis, Isol. Répondit Turiam, sans savoir ce qu’il disait.

-Approche. Je te hisse. Tu écriras tes souvenirs sur du papier a la plume. Dit l’inconnu en insistant sur le mot souvenir.

L’homme ouvrit le soupirail, et jeta une corde dans la cellule. Turiam la prit, et se sentit monter rapidement vers le haut. Il posa ses bras a travers l’embouchure, et l’homme hissa le jeune homme.
Ils prirent route dans un dédale souterrain, une petite ville souterraine sommeillait au-dessus de son ancienne cellule. Turiam remarquait que toutes les personnes qui vivaient dans ces souterrains possédaient un bracelet semblable au sien. Un bracelet en métal qui pour certain, blessait la peau jusqu’au sang. Les souterrains étaient parfois creuser directement dans la roche. Dans d’autre partie, les hommes avaient renforcé les murs avec des pierres. Et dans les parties les plus pauvres, les hommes vivaient dans la boue et l’eau.
Il y avait donc un ordre hiérarchique dans les esclaves. Sûrement en fonction de leur prix ou de leurs compétences. Turiam remarqua rapidement la façon de trouver les différences entres ces serviteurs a vie. Les bracelets portaient des signes différents en fonction des activités des hommes. Les bracelets qui ne portaient aucun symbole étaient porter par les plus basses sphères. Les plus complexes, par les plus hautes. Turiam examina son propre symbole de servilité. Sa complexité dépassait tout ceux qu’il avait vu.
Ils débouchèrent enfin a la surface. Ils étaient sur un petit chemin de gravier, au beau milieu d’une pelouse, dans un jardin. Une fois a la fin du petit chemin, un jardin immense s’offrait aux yeux de Turiam. Deux grandes rangers d’arbres fruitiers tous différents les uns des autres bordaient le chemin principal. Des fleurs de toutes les couleurs parsemaient l’intégralité du jardin.
Turiam n’en croyait pas ses yeux. Déjà, il avait été impressionner par la petite ville ou il avait rencontrer Marlac. Ce jardin était déjà plus grand que la petite ville. S’étant arrêter pour regarder, il sentit une main se poser dans son dos, et le pousser violemment vers l’avant.

-Esclave ! Tu n’as pas a regarder ce que la femme du Maître a crée ! Tes yeux devraient être crever pour ton insolence ! Dépêche-toi ! Avance ! Lui hurla l’homme qui l’accompagnait sans rien avoir dit depuis leur première discutions.

Ils arrivèrent devant une porte immense d’un palais. Turiam se garda de regarder l’architecture, qui était fait avec les pierres extraites des souterrains. Il passèrent de salle en salle de couloir en couloir.
-Ici ce sont les cuisines. Ici le quartier des inviter. Dit l’homme mystérieux.

Il arrivèrent devant une petite porte, qui une fois ouverte, donnait sur une petite chambre, possédant un petit lit, et deux autres portes.

-Ceci est ta chambre. Tu as coûter trop cher au Maître pour qu’il te laisse avec les autre déchets. Tu es un déchet d’or en somme.

Puis il reprirent leur route dans cet immense palais. L’homme continuait as lui faire visiter le palais. Car, en tant que messager, Turiam aussi appeler Isol, devait connaître le palais. Puis, il arrivèrent dans une grande salle. Un homme et une femme, richement vêtus, étaient assit sur d’immenses cousins en satin. De nombreux gardes et esclaves entouraient ce couple, tout en gardant une distance respectueuse. Ils s’approchèrent du couple, et Turiam prit la peine de s’avancer un peu plus, et de s’agenouiller devant l’homme, en se promettant qu’il le ferait payer à Marlac.

-Ha…un très bon serviteur… Il connaît les usages… Pour ce qu’il m’a coûter… L’ elfe qui me l’as vendu, ce… Tsial, qui change de nom aussi souvent que moi d’esclave… Dit l’homme.
Un rire général et forcer toucha progressivement toute la salle. Turiam ne pouvais rire, il s’ efforçât donc de sourire au mieux. Mais ; son nouveau maître se mit rapidement en colère.
-Tu ne ris pas a mon humour ? Tu ne te soumets pas a ton maître ? Battez-le. Faite lui comprendre…
Deux gardes approchèrent. L’un possédait un gourdin, l’autre un long fouet avec un morceau de métal a son bout. L’homme qui accompagnait Turiam s’interposa.

-Maître, vous savez qu’il ne peu pas parler, il ne peu que chanter… C’est aussi pour cela que vous l’avez prit…Monseigneur…calmez-vous, vous êtes pour nous l’incarnation de la bonté…Vous nous apprenez tant lorsque vous êtes calme… répondit le défenseur du jeune homme.
-Moui. Tu as raison. Je suis bon et généreux. Il ne sera pas batu. Mais, vu qu’il ne peu me conter sa vie, il me l’écrira. Je veux savoir d’où lui vient son don. Esclaves, installez un pupitre dans la chambre de cet Isol. Maintenant ! hurla t-il.
L’homme mystérieux prit Turiam par le bras, et le fit sortire de la pièce par une petite porte dans un des coins de la pièce. Cette porte déboucha dans la petite chambre de Turiam, où un pupitre, une plume, de l’encre et des parchemins l’attendait.
-Tu t’es bien débrouiller. Il t’a bien choisit. Je m’appelle Psiu. Tu peu le prononcer. Dit l’homme.
-Psiu ? hgnn. Tenta de répondre Turiam.
-Mais tu ne peu toujours pas parler. Il suffira que tu me fasses comprendre ce que tu veux me dire avec tes mains. Mais maintenant, dors. Tu en as besoin. Puis, commence ton travail. Ecrit ta « vie ». Bonne chance.

Psiu sortit par une des portes, et un petit bruit sortit de toutes les portes. Elles s’étaient toutes verrouiller. Turiam ne pouvais sortir, il décida donc de prendre un véritable sommeil.
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MessageSujet: Re: Les Chroniques Démoniaques.   Les Chroniques Démoniaques. Icon_minitimeLun 12 Jan 2009, 12:08

Note: Je m'arreterais a la 9ieme partie, pour des raison simple, ne pas tout dévoiler, et ne pas distribuer tout librement sur internet. Ceux qui voudrons la suite, pourrons me la demander plus tard, je leur enverrais les fichier words (ou sous format .txt si vous ne l'avez pas).

Il y as Sept partie déjà sur le site. Ce texte sera replacer a la fin a chaque mise a jour.
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